ALMERIA + ALBERT FALLEN + NIKO YOKO

ALMERIA

Almeria : un nom qui sonne comme un murmure, pour dégoupiller les cris. Chargés de toutes leurs influences, électro, rock, pop, Zabeth et Manu font du duo un miroir musical, où chacun donne le meilleur à voir – et à entendre – pour tracer un chemin entre leurs deux mondes et accoucher d’un projet neuf.
Les broderies, les dentelles : très peu pour eux. Almeria n’est pas couturière. Ce qui les fait vibrer, c’est la mécanique de précision. Poncer, ciseler, émailler pour offrir une pièce épurée, qui viendra épouser ses sœurs dans une machine parfaite. Jonglant entre claviers et guitares, les deux compères offrent un son riche et précis, entremêlant leurs voix au rythme des beats marqués.
L’électro vient offrir sa clarté rythmique et sa poésie industrielle à un héritage rock maîtrisé. Sur le fil du rasoir, la musique d’Almeria est un minimalisme radieux, un mélange de joie et de spleen.
Sur scène également, le duo propose un show complexe mais toujours léger, synthèse d’une musique élégante et d’une énergie généreuse. Leur performance donne quartier libre aux mouvements chaloupés et sautillants : c’est bien joli l’intensité des émotions, encore faut-il continuer à danser. Alors, dis, tu viens bientôt les voir ?

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ALBERT FALLEN

Albert Fallen évolue dans un univers mélodique lancinant et minimaliste. Nappes de synthés, riffs obsédants et beats électroniques s’entremêlent pour donner lieu à une sensation nerveuse et planante. A travers des textes décousus et portés par une rythmique implacable, la voix cherche l’évasion.

De la vague « Madchester » aux pionniers de la techno de Détroit, Albert Fallen trouve sa source dans divers lieux et époques pour créer une musique alternative moderne et expérimentale. Il pense que la pop indé doit évoluer constamment et donne son interprétation de ce qu’elle sera demain.

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NIKO YOKO

Profondément atteints par la longue absence de Phil Collins, les membres de Niko Yoko se lancent cet été 2016 avec un premier EP : « Something’s Coming ». Composé à 70% d’eau, le groupe défend une vision rebelle et moderne de la musique qu’ils aiment. Des mélodies kaléidoscopes des Beatles en passant par l’énergie démembrée du Velvet Underground, Niko Yoko insuffle une colère contemporaine à travers ses compositions pop.

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[audio:niko_yoko_Don_t_Let_It_Go.mp3|titles=Don’t let it go|artists=NIKO YOKO]

INFOS PRATIQUES

21h00 : Concerts – 7 €
00h30 : Club (DJs) – 20 € (2 consos)
Information et Réservation restaurant : 01 45 26 80 35

Le Bus Palladium : 6, rue Pierre Fontaine 75009 Paris
Metro : 12 – Pigalle
Bus : 74 – Pigalle Chaptal