THE WISE DUDE’S REVOLVER
The Wise Dude’s Revolver, c’est d’abord une nébuleuse de musiciens et d’amis. Des disciples de la reverb, des ambiances hypnotiques et vintages d’un psychédélisme qui n’aurait jamais vraiment quitté ce monde. Depuis des rivages folks, le Wise Dude’s Revolver fait naviguer ses mélodies accrocheuses vers des eaux troubles psyché et shoegaze, dans les profondeurs des pédales d’effets, guitares, orgue, sitar, percussions. Leur premier E.P est sorti à l’automne 2013, sous influence de groupes comme le Brian Jonestown Massacre, les Warlocks, les Black Angels… et leurs grands-aïeuls, Doors, Pink Floyd…
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VIKING
Thomas de Pourquery (songwriting, chant) et Maxime Delpierre (production, guitares) sont deux musiciens parisiens qu’on a pu entendre ces dernières années aux cotés de Metronomy, Rachid Taha, Mick Jones, Fred Pallem, Philippe Katerine, The Do, Jim Black ou Oxmo Puccino, parmi tant d’autres… Ils fondent tous VIKING en 2013 et sont en train d’enregistrer leur premier album.
Sur scène, le duo est rejoint par trois musiciens extraterrestres : Arnaud Roulin aux claviers (Paris, Poni Hoax, Koudlam…), Juan de Guillebon à la basse (DyE, Joakim, Arthur H…), et Mark Kerr à la batterie (Maestro, Bo’tox, Catherine Ringer, Simple Minds…)
« Il y a dans la pop de VIKING autant le grand large que cette West Coast du bout de monde, celle américaine des années 1970, gorgée de soul (le Marvin Gaye de « I want you » ou « Trouble Man » en figure tutélaire), d’amour et de soleil. Comme deux adolescents, VIKING en visite les vestiges et les fantômes, un peu à la manière d’Ariel Pink, des Stepkids, ou du jeune plasticien et musicien de Los Angeles Vinyl Williams, jouant et se jouant des clichés FM, entre freaky disco et soul cocaïnée, mais tendus vers les sommets : rarement cordes vocales n’auront autant fait frémir et vibrer les parquets du dancefloor, de ce côté-ci de l’océan, pour évoquer et invoquer l’amour sous toutes ses formes, de la plus douce à la plus convulsive. « Love is the drug », comme le chantait Brian Ferry, et si ça n’est pas toujours très cool, en tout cas c’est toujours très, très sexy. »
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ATILA PSUS
Je m’apelle Atila Psus
Ceci est mon premier objet : Dodo eclosion
Mes origines sont pas très nettes .
J’écris des textes
Je rêve en musique
J’ai une obsession fétiche pour les plantes en plastique
Je parle (parfois beaucoup)
Je chante quand ca me chante
Je joue seul pour vous avec mon électro, comme en témoigne la photo ci- dessous
Je vais pas tarder à sortir 5-6 titres.
facebook – youtube
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INFOS PRATIQUES
21h00 : Concerts – 6 €
00h30 : Club (DJs) – 20 € (2 consos)
Information et Réservation restaurant : 01 45 26 80 35
Le Bus Palladium : 6, rue Pierre Fontaine 75009 Paris
Metro : 12 – Pigalle
Bus : 75 – Pigalle Chaptal